• Actualité

    L’ère du Niran

    Fin novembre 2012, après quelques mois d’activité chaotique, l’EIW a eu la bonne idée d’engager en qualité de chef d’orchestre Niranjan WijeWickrema « celui qui marche vers la victoire ». Cinq concerts et deux défilés plus loin, nous sommes engagés de la tête aux pieds dans l’ère du Niran. Plus de travail, plus d’imagination, plus de fous rires, tout autant de troisièmes mi-temps : l’EIW est en forme ! Et un grand projet que nous pouvons maintenant vous révéler : un concert dédié aux étoiles, aux planètes et à ceux qui les habitent peut-être. Nous pensons être prêts à la même époque l’an prochain, si possible pour la Nuit des Etoiles.

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    The Music Man

    [Extraits : L’arrivée du wagon – Avant que tu ne sois là – 76 trombones] Meredith Wilson, arr. Alfred Reed         Jauche 12/2012 Comédie musicale élégamment rétro, à l’époque du rock, qui reçut un Oscar pour sa musique, The Music Man nous emmène dans un village du Far West au début du siècle dernier. Un petit medley avec le wagon de la Wells Fargo qui descend la rue principale, le grand air romantique sur le pont fleuri, et surtout la marche finale, interprétée dans le film par le marching band de l’Université de Californie, avec bel et bien 76 trombones en tête de cortège, plus de 1000 instruments en tout !

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    Oblivion

    Astor PiazzolLa, arr. Lorenzo Pusceddu Waremme (concert Haut Regard) 3/2013 Un hommage d’Astor PiazzolLa à ses compatriotes argentins, victimes de la dictature dans les années ’70. Le sentiment d’oppression est palpable, on peut même en tendant l’oreille entendre la police politique frapper à la porte. Une œuvre parlante très réussie. 

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    Rabbi Jacob

    [Les danses ‘hassidiques] Vladimir Cosma Waremme (concert Haut Regard) 3/2013 Plongé dans un univers auquel il ne connaît rien, manquant confondre un chapeau avec un cake, au son d’une musique exotique, Louis de Funès apprend instantanément les pas d’une danse échevelée. Totalement irréaliste, mais un grand moment funésien. Et pourquoi des religieux très stricts dansent-ils ? Parce que montrer de la joie de vivre, quelque dure que soit l’existence, c’est témoigner de la gratitude à Dieu de leur avoir offert la vie. Belle philosophie !   

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    Samba Time

    [Copacabana – Aquarelha do Brasil – Tristeza] arr. Manfred Schneider            Jauche 12/2012 Copacabana, c’est au nord de La Havane. En tout cas, c’est ce que l’on apprend dans la chanson. Ca rime en anglais, mais au sud ça aurait rimé aussi … une histoire triste, dont la morale, « ne tombez jamais amoureux », est très « saudade ». Pour ceux qui ne connaissent pas Aquarelha do Brasil, enlevez les deux premiers mots du titre. Le texte pourrait être celui d’un dépliant touristique, à la gloire du « Brésil brésilien » (sic). Un medley qui reste bien dans les oreilles, le bon plan pour terminer une prestation.